Le 16 octobre 2007, George W. Bush rencontre le dalaï-lama. Le
dieu-roi déchu du Tibet a toujours bénéficié du soutien des oligarques
Etasuniens. Le 17 octobre, en présence de Bush, il reçoit la plus haute
distinction américaine, la médaille d'or du Congrès.
Quels sont les rapports entre les élites tibétaines et les oligarques corrompus qui dirigent les Etats Unis ?
L'opinion de Christian Pose :
" J'ai été, de fait, ordonné moine en Inde, à Clement Town (Uttar Pradesh), auprès, ironie du sort, de l'une des familles Nyngmapa (& Karmapa-Kagyu) les plus militaristes et les plus corrompues de la free-tibet connection, si l'on juge, toutefois, l'indice de corruptibilité par l'aptitude du groupe à exploiter financièrement ses titres et ses privilèges nobiliaires (le volume des dons immobiliers, fonciers et des offrandes monétaires étant toujours proportionnel aux qualités, aux nombres des titres héréditaires et des privilèges). Je veux citer, ici, la famille Nyngmapa Mindröling, type même de la famille d'ancien régime, xénophobe, discriminante, raciste, militariste, capitaliste, antidémocratique et violente. Le fascisme mondain préservé de cette famille ne m'apparaîtra pas immédiatement, dissimulé qu'il était sous le discours entêtant des "héritiers lignéagés parfaits" de la "tradition préservée" de Bouddha Shakyamuni : 44 maîtres depuis Shakyamuni (standard structuro-fonctionnaliste des lignées institutionnelles de rois bouddhistes réincarnés, monastiques et laïcs, depuis les origines).
" Shakyamuni représentait depuis toujours à mes yeux l'évidence du partage, du socialisme sans parti et sans Etat, du bouddhisme individualiste et égalitaire, de la vie parmi les pauvres. Je fis donc, à cette époque, inexpérimenté et bien malgré moi, un choix de moyens opposé à mes convictions religieuses, politiques et sociales fondamentales. [...]
"La famille bouddhiste Mindröling s'avéra grâce à un savant dosage de dissimulation et d'opportunisme monétaire une hiérarchie orthodoxe fondamentaliste (guère différente, au pied de la lettre, d'une famille politique orthodoxe Taliban, menaçant de mort les hérétiques, les femmes infidèles et les libres penseurs de la foi - la comparaison vaut également pour les autres familles historiques tibétaines Karmapa, Nyingmapa, Gelugpa, Sakyapa), un parfait soutien aux Dalaï-lama et aux rois autocrates Karmapa (jouant comme toutes les familles royales tibétaines sur l'autorité stratégique que représente l'opposition de deux couronnes au sein d'une "même famille/nation bouddhique"). La hiérarchie Mindröling était intégrée aux hiérarchies ritualistes soutenant la "lignée" des Dalaï Lama. Elle était à ce titre l'un des lobbys les plus "côtés" des milieux d'affaires bouddhistes de Taïwan, de Singapoure, de Hong Kong, de Tokyo, des Rotary Clubs et des Lion's Clubs Indiens, Américains, Européens, Canadiens. Mindröling était en fait un club tantrique fortuné très sélect et très fermé comme la plupart des monastères tantriques tibétains de "l'ancien régime" liés à l'occident fortuné, réactionnaire et militariste. Ces clubs dirigés selon l'expression des opposants socialistes tibétains par des "business-lama" ou des "golden card lama" étaient ouverts également à des "clients socialement irresponsables" tels que les groupes d'investisseurs locaux mafieux (promoteurs immobiliers, banquiers, commerçants), à certains représentants du RSS (Corps National des Volontaires, droite indienne ultranationaliste), du BJP (Bharatiya Janata Party, Parti Pour le Peuple Indien de A.B. Vajpayee et L.K. Advani) spéculant sur la chute de la démocratie indienne et l'avènement d'un national-socialisme indien...où encore à des familles politiques de l'ultra droite militariste française, britannique, canadienne, américaine. Les familles autocratiques Gelugpa, Karmapa, Nyngmapa (Kangyur, Wangyal, Khyentse, Dudjom), Kagyupa et vassales seront par exemple, et par la seule puissance de l'intérêt privé, liées à la politique anti-musulmane, anticommuniste et anti-marxiste du clan Bush, grand-père, père et fils, aux lobbys et aux conseillers politiques du CPD, du PNAC - Via Paula Dobriansky, signataire et vice-présidente du Council on Foreign Relations/CFR, membre de la commission Trilatérale, Council's first George F. Kennan Senior Fellow for Russian and Eurasian Studies - à la CIA (I) (II) et au FBI, lire à ce sujet "US President Bush Continues to Support Feudal Separatists" sur le site de Workers World News dans Revolutionay Worker Online, ainsi que notre chapitre III-1 et III-2 "l'invention politique du principe d'irresponsabilité, de la pénalisation intensive de la misère et les régimes de responsabilité spécifiques". Les familles autocratiques Sakyapa ouvriront également leurs secrets d'Etat à la très bushienne Yale University. Toutes les familles bouddhistes autocratiques tibétaines citées, et celles de moindre représentation, ne s'opposeront jamais aux corvées publiques, privées, au fouet judiciaire, à la déportation pénale, au travail forcé gratuit héréditaire (wula en tibétain). "
Christian Pose http://linked222.free.fr/cp/ChristianPose.html
Quels sont les rapports entre les élites tibétaines et les oligarques corrompus qui dirigent les Etats Unis ?
L'opinion de Christian Pose :
" J'ai été, de fait, ordonné moine en Inde, à Clement Town (Uttar Pradesh), auprès, ironie du sort, de l'une des familles Nyngmapa (& Karmapa-Kagyu) les plus militaristes et les plus corrompues de la free-tibet connection, si l'on juge, toutefois, l'indice de corruptibilité par l'aptitude du groupe à exploiter financièrement ses titres et ses privilèges nobiliaires (le volume des dons immobiliers, fonciers et des offrandes monétaires étant toujours proportionnel aux qualités, aux nombres des titres héréditaires et des privilèges). Je veux citer, ici, la famille Nyngmapa Mindröling, type même de la famille d'ancien régime, xénophobe, discriminante, raciste, militariste, capitaliste, antidémocratique et violente. Le fascisme mondain préservé de cette famille ne m'apparaîtra pas immédiatement, dissimulé qu'il était sous le discours entêtant des "héritiers lignéagés parfaits" de la "tradition préservée" de Bouddha Shakyamuni : 44 maîtres depuis Shakyamuni (standard structuro-fonctionnaliste des lignées institutionnelles de rois bouddhistes réincarnés, monastiques et laïcs, depuis les origines).
" Shakyamuni représentait depuis toujours à mes yeux l'évidence du partage, du socialisme sans parti et sans Etat, du bouddhisme individualiste et égalitaire, de la vie parmi les pauvres. Je fis donc, à cette époque, inexpérimenté et bien malgré moi, un choix de moyens opposé à mes convictions religieuses, politiques et sociales fondamentales. [...]
"La famille bouddhiste Mindröling s'avéra grâce à un savant dosage de dissimulation et d'opportunisme monétaire une hiérarchie orthodoxe fondamentaliste (guère différente, au pied de la lettre, d'une famille politique orthodoxe Taliban, menaçant de mort les hérétiques, les femmes infidèles et les libres penseurs de la foi - la comparaison vaut également pour les autres familles historiques tibétaines Karmapa, Nyingmapa, Gelugpa, Sakyapa), un parfait soutien aux Dalaï-lama et aux rois autocrates Karmapa (jouant comme toutes les familles royales tibétaines sur l'autorité stratégique que représente l'opposition de deux couronnes au sein d'une "même famille/nation bouddhique"). La hiérarchie Mindröling était intégrée aux hiérarchies ritualistes soutenant la "lignée" des Dalaï Lama. Elle était à ce titre l'un des lobbys les plus "côtés" des milieux d'affaires bouddhistes de Taïwan, de Singapoure, de Hong Kong, de Tokyo, des Rotary Clubs et des Lion's Clubs Indiens, Américains, Européens, Canadiens. Mindröling était en fait un club tantrique fortuné très sélect et très fermé comme la plupart des monastères tantriques tibétains de "l'ancien régime" liés à l'occident fortuné, réactionnaire et militariste. Ces clubs dirigés selon l'expression des opposants socialistes tibétains par des "business-lama" ou des "golden card lama" étaient ouverts également à des "clients socialement irresponsables" tels que les groupes d'investisseurs locaux mafieux (promoteurs immobiliers, banquiers, commerçants), à certains représentants du RSS (Corps National des Volontaires, droite indienne ultranationaliste), du BJP (Bharatiya Janata Party, Parti Pour le Peuple Indien de A.B. Vajpayee et L.K. Advani) spéculant sur la chute de la démocratie indienne et l'avènement d'un national-socialisme indien...où encore à des familles politiques de l'ultra droite militariste française, britannique, canadienne, américaine. Les familles autocratiques Gelugpa, Karmapa, Nyngmapa (Kangyur, Wangyal, Khyentse, Dudjom), Kagyupa et vassales seront par exemple, et par la seule puissance de l'intérêt privé, liées à la politique anti-musulmane, anticommuniste et anti-marxiste du clan Bush, grand-père, père et fils, aux lobbys et aux conseillers politiques du CPD, du PNAC - Via Paula Dobriansky, signataire et vice-présidente du Council on Foreign Relations/CFR, membre de la commission Trilatérale, Council's first George F. Kennan Senior Fellow for Russian and Eurasian Studies - à la CIA (I) (II) et au FBI, lire à ce sujet "US President Bush Continues to Support Feudal Separatists" sur le site de Workers World News dans Revolutionay Worker Online, ainsi que notre chapitre III-1 et III-2 "l'invention politique du principe d'irresponsabilité, de la pénalisation intensive de la misère et les régimes de responsabilité spécifiques". Les familles autocratiques Sakyapa ouvriront également leurs secrets d'Etat à la très bushienne Yale University. Toutes les familles bouddhistes autocratiques tibétaines citées, et celles de moindre représentation, ne s'opposeront jamais aux corvées publiques, privées, au fouet judiciaire, à la déportation pénale, au travail forcé gratuit héréditaire (wula en tibétain). "
Christian Pose http://linked222.free.fr/cp/ChristianPose.html